Située en amont du pont à la sortie du village, en direction de Carpentras, il est pas possible de la rater. Toujours dans son jus, la belle courbe hydrodynamique de ses pales d’acier annonce toute la puissance que l’on peut attendre d’elle.
Elle ne devait pas être la seule sur la Sorgue de Velleron, car dans les environs comme le montre les cartes postales anciennes on remarque en aval d’autres roues aujourd’hui disparues.
Elle ne devait pas être la seule sur la Sorgue de Velleron, car dans les environs comme le montre les cartes postales anciennes on remarque en aval d’autres roues aujourd’hui disparues.
L’autorisation d’établir une roue pour un moulin à soie fut donnée à Villelongue par ordonnance royale du 4 décembre 1854. La roue actionna un moulin à farine qui, après avoir appartenu à Xavier Fabre et à sont fils, passa à Henri Ponsard et à Joseph Combe puis à Jean Milesi , négociant en fers et métaux qui utilise la force motrice pour l’effilochage et le lavage des chiffons.
Source : “Notes sur l’Isle” de Julien Guigue (roue 56)
Source : “Notes sur l’Isle” de Julien Guigue (roue 56)
(Photos Ange Pasquini ou Diane St-Julien)
